Je n'ai déjà plus entre les mains le bon livre de Juan Rufo, mais il me revient que le préfacier Alberto Blecua, évoquant l'importance du jeu dans la vie de l'écrivain et les ennuis que cette addiction lui avait valus, signalait que cela se reflétait dans ses sept-cent-sept apophtegmes, dont parait-il environ dix pour cent abordent le sujet. Et il m'amuse de constater que, par pure coïncidence, la proportion s'est maintenue dans ma Lettre documentaire, où exactement deux des paragraphes (77 & 211), sur les vingt traduits, évoquent le jeu.
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