Le bulletin institutionnel, que je reçois encore, m’apprend qu’il y a 67 % d’étudiantes à l’université Bordeaux-Montaigne en 2021-2022 et que cette proportion «est restée relativement stable ces dix dernières années». Je suppose que si c’était 67 % d’étudiants, les féministes chouineraient qu’elles sont opprimées par le vilain patriarcat. Mais là, évidemment, no problemo.
Pas de problème ? Si l'on sait à quoi mènent ces études,il y en a un (et un gros).
RépondreSupprimerElles se débrouillent pas mal. La plupart des profs sont aussi des femmes.
RépondreSupprimerEt les instits et les infirmières, les libraires, bientôt les "éditrices"… toutes les professions où elles sont majoritaires ou en passe de le devenir deviennent mineures… pas cons les mecs !
RépondreSupprimerLes mecs sont pas cons, mais les femmes sont connes. C'est une explication...
RépondreSupprimer" On est toujours un con pour sa femme. Ou c'est une conne." G.Perros
RépondreSupprimer(La connerie est devenue un objet d'étude philosophique. Qu'est ce qui favorise l'apparition de la connerie ? La connerie est elle partout ? Maxime Rovere élabore une éthique face à la connerie.)
→ https://www.franceinter.fr/emissions/l-heure-philo/l-heure-philo-du-vendredi-18-mars-2022