Un géographe-poète tatillon (ou un poète-géographe tout aussi tatillon) vous rétorquerait que la Loire a trois sources (certes, au pied du mont Gerbier de Jonc) et dès lors, l’alexandrin est foutu : « La Loire prend SES sourceS (Z)au mont Gerbier de Jonc ». Par ailleurs un biologiste-poète (ou le poète-biologiste) intégriste vous répondra qu’un ver solitaire n’est pas un poème, mais un parasite. Bien à vous.
Un géographe-poète tatillon (ou un poète-géographe tout aussi tatillon) vous rétorquerait que la Loire a trois sources (certes, au pied du mont Gerbier de Jonc) et dès lors, l’alexandrin est foutu : « La Loire prend SES sourceS (Z)au mont Gerbier de Jonc ».
RépondreSupprimerPar ailleurs un biologiste-poète (ou le poète-biologiste) intégriste vous répondra qu’un ver solitaire n’est pas un poème, mais un parasite.
Bien à vous.