jeudi 7 août 2025

cryptos

    Alexandrin commercial, et un brin ésotérique, vu dans une pub : À chacun sa façon de trader les cryptos.

5 commentaires:

  1. « T’as détecté ce grand niais d’Alexandrin ! » aurait pu dire notre Totor national.
    Mais Philippe, d’où vous vient cette sympathique « dodécasyllabophilie » presque compulsive ?
    Bien à vous.

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    1. Eh bien pour être franc, je ne saurais le dire.
      J'en profite pour vous demander, cher GjG : nous connaissons-nous, en dehors de cette page ?

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    2. Notre rencontre n’a été que virtuelle (alexandrin !?), mais votre journal est depuis des lustres en lien sur le blogue en foutoir que je traîne péniblement depuis vingt ans déjà. Du reste, je ne me souviens plus comment et par quelle voie internautique (blogue ?) je suis parvenu chez vous.
      Cela étant, qu’importe, puisque nous nous causons maintenant en patois alexandrin (bien que je sois plutôt octosyllabophile, voir décasyllabophile — sans être dodécasyllabophobe non plus, hein).
      Enfin, grâce à vous, j’ai appris par ailleurs un nouveau mot aujourd’hui : « métricien » (un de ces petits métiers d’antan hélas disparus avec les poètes du même bois ou du même club…)
      Bien à vous.

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    3. C'est quoi, votre blog en foutoir ?

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  2. Pour revenir à l’alexandrin de ce billet, notons le boomerang étymologique du stupide anglicisme « trader » (commercer / changer / fabriquer / etc. selon contexte). Un verbe qui avait traversé la Manche bien avant Guillaume le Conquérant et Blériot (voire Jules César) en « oilifiant » le vénérable mot latin « tradere » (transmettre / échanger, etc. selon contexte).
    Lequel mot romain donnera (peut-être ?) plus tard (vers 1520 ?) le verbe français « traduire » qui je crois, vous est cher.
    Il nous revient aujourd’hui par l’Atlantique et il est probable que trader des cryptos est plus dans le vent que de trader des harengs ou des choux-fleurs. Mais bon…

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