Le blog littéraire et agricole de Philippe Billé. Des notes de lecture, et des notes du reste.
dimanche 5 octobre 2025
fortune
Ces trois notes retrouvées, à propos de philanthropes, prises çà et là. Dans Au temps du boeuf sur le toit, de Maurice Sachs, en date du 20 mars 1920, «Gaby Deslys est morte : elle a légué toute sa fortune aux pauvres de la ville de Marseille». Dans Wikipédia, des renseignements sur le duc de Loubat (1831-1927) qui a distribué sa fortune au bénéfice de plusieurs institutions culturelles et scientifiques, en Europe et aux USA. Dans le Dictionnaire du Bassin d’Arcachon, d’Olivier de Marliave, la notice sur Sophie Wallerstein (1853-1947) riche héritière à Arès, qui mena ses affaires, fonda une Maison de santé pour les pauvres, un centre aéré pour les enfants, et une bibliothèque populaire de plusieurs milliers de volumes, qui devint la bibli municipale. Au contraire des journalistes et des socialistes, pour qui les riches n’ont que des torts, j’admire ces exemples.
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Une erreur s’est glissée dans ce texte. Pour les journalistes et les socialistes les riches n’ont pas de torts s’ils défendent les valeurs de gauche.
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