jeudi 27 juin 2024

Klimt

Il est assez naturel qu’une petite bibli de village comme celle de Loulay ne possède pas beaucoup d’albums de peinture, il est plus étonnant qu’il y en ait parmi ceux-ci deux consacrés au seul Gustav Klimt, les deux ornant leur couverture du même portrait de Judith I. L’un d’eux s’intitule Rêves dorés de Gustav Klimt, texte d’Angela Wenzel, dont le nom bizarrement ne figure qu’à la dernière page en lettres d’un millimètre (Editions Palette, 2005), l’autre Gustav Klimt 1862-1918 Le monde comme une forme féminine, de Gilles Néret (Taschen, 2013). J’ai emprunté les deux ensemble, non pour les lire, je n’en ai guère le temps ni le besoin, juste pour regarder les images. Les belles images des peintures de Klimt, que l’on a tous plus ou moins déjà vues et sur lesquelles je n’ai rien de spécial à dire. Remarqué quelques dessins émouvants de belles endormies, offrant à la vue leurs jambes écartées. Appris qu’outre les portraits, l’artiste avait aussi peint des paysages, arbres et maisons. Il y a quelques photos où l’on voit sa bonne tête barbue et où il porte une grande robe à l’orientale, qui ne lui va pas mal. Son nom de famille manque un peu de voyelles, je m’amuse à le renommer Gustav Klimat.

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