dimanche 20 février 2022

parasites

 Depuis l'expulsion de leurs locaux pour loyers impayés, les Ni putes ni soumises se sont rebaptisées Ni putes ni soumises ni subventionnées, mais elles ont moins de succès. Quant aux dissidentes Ni parasites ni vulgaires, elles n’ont pas réussi à imposer leur ligne.

5 commentaires:

  1. C'est un peu tirer sur une ambulance, non ?
    Et même un corbillard.
    Il me semble qu'elles sont dissoutes depuis plusieurs années, dans ces conditions, tu m'avoueras qu'il n'est pas vraiment étonnant qu'elles ne paient pas/plus leur loyer.

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  2. Oui, comme tu auras remarqué, je ne traite pas que de sujets d'actualité.
    Chronologiquement c'est après avoir cessé de payer leur loyer, que les NPNS ont disparu, il y a quelques années, vers le début du quinquennat Macron.
    Je repensais à elles l'autre jour en tombant par hasard sur une de leurs petites brochures infectes, payées par le contribuable dans les années 2000, et je me suis renseigné sur leur cas dans Wikipédia.
    J'ai vu que question parasitisme, la Fadela est restée une pro, même après la disparition de sa secte.

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  3. Dis pas du mal d'elle, elle est née le 25 avril, date bénie des Dieux.
    Question "parasitisme",elle est inspectrice à l'IGAS (comme Dominique Voynet, je ne suis pas certain de l'utilité du bidule, mais il doit y avoir pas mal d'administrations dans le même cas, non ?

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  4. Où en est ce dossier? "En 2010, Le Canard enchaîné révèle que Fadela Amara prête son logement de fonction dans le 7e arrondissement de Paris à des membres de sa famille. Fadela Amara reconnaît le 1er juin 2010 que cela s'est produit occasionnellement, et qu'elle n'habite pas dans ce logement car elle continue de vivre dans une habitation à loyers encadrés dits "moyens". Elle contredit ainsi de précédentes déclarations, et cela confirme qu'elle ne respecte pas les règles en vigueur sur les logements de fonction des ministres. Par ailleurs, malgré les demandes répétées depuis 2009 de la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP), Fadela Amara refuse à ce jour de libérer le logement à loyers encadrés qu'elle occupe dans le 13e arrondissement, estimant ce faisant défendre « la mixité »".

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  5. Si ça doit te rendre fumasse, je pense que Marie-Antoinette Amara occupe toujours un Trianon de 50 mètres carrés dans le treizième arrondissement (l'un des plus chics de le capitale) loué par la RIVP (loyer libre). Tu trouves ça terrible ? et tu trouves terrible qu'elle ait prêté son appart' de fonction à des membres de sa famille ? J'y vois plutôt un comportement de pauvre tout comme celui consistant à vouloir décapiter tout ce qui dépasse.

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