dimanche 20 octobre 2024

censure

Il ne m’est pas arrivé souvent, mais quelques fois tout de même, de subir les divers types de censure pratiqués sur les réseaux sociaux, allant de la simple disparition d’un contenu à des mises en garde explicites, assorties de menaces plus ou moins graves. J’ai conservé une capture d’écran de mon avant-dernière mésaventure, qui remonte au printemps (voir ci-dessous). Un collage érotique pas bien méchant, datant des années 80, et qui avait été accepté dans mes galeries de photos sur Facebook, a été refusé sur Instagram (Ce qui s’est passé : Nous avons supprimé votre contenu). Ce sont là les deux sites qui me servent de vitrines virtuelles pour montrer mes images. Et avant-hier, à l’inverse, un Ezéquiel pas vraiment torride (voir ci-contre) a été refusé sur Fb (We removed your photo ... It looks like you shared or sent something that shows nudity or sexual activity) mais reste visible (me semble-t-il) sur Insta. A vrai dire, je n’accorde pas grande importance à ces petites contrariétés. La censure de pudeur, ou en l'occurrence de pudibonderie, plus bête que méchante, me paraît moins inquiétante que la censure politique.


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