Il ne m’est pas arrivé souvent, mais quelques fois tout de même, de subir les divers types de censure pratiqués sur les réseaux sociaux, allant de la simple disparition d’un contenu à des mises en garde explicites, assorties de menaces plus ou moins graves. J’ai conservé une capture d’écran de mon avant-dernière mésaventure, qui remonte au printemps (voir ci-dessous). Un collage érotique pas bien méchant, datant des années 80, et qui avait été accepté dans mes galeries de photos sur Facebook, a été refusé sur Instagram (Ce qui s’est passé : Nous avons supprimé votre contenu). Ce sont là les deux sites qui me servent de vitrines virtuelles pour montrer mes images. Et avant-hier, à l’inverse, un Ezéquiel pas vraiment torride (voir ci-contre) a été refusé sur Fb (We removed your photo ... It looks like you shared or sent something that shows nudity or sexual activity) mais reste visible (me semble-t-il) sur Insta. A vrai dire, je n’accorde pas grande importance à ces petites contrariétés. La censure de pudeur, ou en l'occurrence de pudibonderie, plus bête que méchante, me paraît moins inquiétante que la censure politique.
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