Deux livres illisibles, en tout cas pour moi, piqués naguère dans des boites à livres, par curiosité.
D’une part Le chat a encore frappé, de Philippe Geluck (Casterman, 2005). J’ai déjà vu ou entendu ici et là ce dessinateur, chouchou des médias. Il me paraît plutôt sympathique, à défaut d’être amusant, mais cet album m’a semblé vraiment très mauvais. Je n’ai lu que quelques blagues, c’est de l’humour absurde à la portée des écoles primaires. Par exemple le chat dit «On m’appelle el gato» et à côté un gâteau répond «moi aussi». Et tout a l’air du même niveau.
D’autre part Rapport d’activité du Comité central du Parti communiste bulgare pour la période entre le dixième et le onzième congrès et les tâches à accomplir, de Todor Jivkov (Sofia-Presse, 1976). Rien que le titre, déjà ça calme. Suivent 114 pages de blabla irrespirable, pleines de prêchi-prêcha marxiste-léniniste, de larges masses, de réalisations mirobolantes et d’avenir radieux. Je pense que personne ne peut lire d’un bout à l’autre un tel pâté, sans y être contraint.
D’une part Le chat a encore frappé, de Philippe Geluck (Casterman, 2005). J’ai déjà vu ou entendu ici et là ce dessinateur, chouchou des médias. Il me paraît plutôt sympathique, à défaut d’être amusant, mais cet album m’a semblé vraiment très mauvais. Je n’ai lu que quelques blagues, c’est de l’humour absurde à la portée des écoles primaires. Par exemple le chat dit «On m’appelle el gato» et à côté un gâteau répond «moi aussi». Et tout a l’air du même niveau.
D’autre part Rapport d’activité du Comité central du Parti communiste bulgare pour la période entre le dixième et le onzième congrès et les tâches à accomplir, de Todor Jivkov (Sofia-Presse, 1976). Rien que le titre, déjà ça calme. Suivent 114 pages de blabla irrespirable, pleines de prêchi-prêcha marxiste-léniniste, de larges masses, de réalisations mirobolantes et d’avenir radieux. Je pense que personne ne peut lire d’un bout à l’autre un tel pâté, sans y être contraint.
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