Il y avait a priori peu de chances pour que l’autobiographie de Michel Sardou, Et qu’on n’en parle plus (2009) me ravisse, et en effet je l’ai parcourue sans y trouver aucun intérêt. L’ouvrage se présente comme un dialogue imaginaire du chanteur avec son insupportable mère, mais cet artifice sonne faux et l’auteur y égrène confusément, dans le plus grand désordre, ses pauvres souvenirs de playboy friqué, d’enfant gâté revenu de tout, qui ne m’ont touché à aucun moment.
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