Ne connaissant guère que de réputation le naturaliste hollandais Willem Piso (1611-1678) qui accompagna en son temps une mission d’exploration au Brésil, je n’avais a priori aucune raison de le trouver antipathique, jusqu’à ce que je tombe l’autre jour sur une citation de lui, à propos de l’animal Paresseux, qui commence en ces termes : «J’ai disséqué une femelle vivante … qui avait en elle un fœtus parfait … Le cœur a continué de battre très fortement pendant une demi-heure après avoir été retiré du corps ...» La science a peut-être ses raisons, mais cela m’a dégoûté.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire