Nouvel exemple de douceur féminine avec le procès à Lyon de Myriam Jaouen, qui a tué une fillette de onze mois dont elle avait la garde, en lui faisant avaler du Destop. C’est en même temps un bon exemple d’indulgence judiciaire, car la thèse de l’homicide volontaire n’a pas été retenue : l’énergique baby-sitteuse n’a été reconnue coupable que d’actes de torture et barbarie ayant entrainé la mort sans intention de la donner ! Cette belle ordure échappe ainsi à la peine maximale et, ayant déjà purgé trois ans de taule, pourra demander sa libération conditionnelle dans neuf ans.
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