Avec le Vivre vite de Brigitte Giraud, la semaine dernière, je me disais que je lisais enfin un Prix Goncourt, ce qui ne m’arrive jamais. Or après avoir consulté sur Wiki la liste des lauréats, je constate que ce n’est pas tout à fait vrai. J’ai lu jadis Un homme se penche sur son passé, de Maurice Constantin-Weyer (1928) et Le roi des aulnes, de Michel Tournier (1970), je crois aussi La condition humaine, d’André Malraux (1933) et Les racines du ciel, de Romain Gary (1956). Mais de ces quatre je ne garde quasi aucun souvenir, et c’était du temps où je lisais sans noter. Plus récemment j’ai tenté les Trois jours chez ma mère, de François Weyergans, et comme cela devenait agaçant au fil des pages, j’ai laissé tomber en route (voir au 8 I 21). J'entends d'ici les commentaires : Mais tu n'as donc jamais lu Ceci ? Ni Cela ? Eh bien, j'avoue...
Commen vounavet palule luminoeud Nico Mathieu !!
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