En 1963, peu après la mort de sa mère, l’écrivain pessimiste Albert Caraco composa un petit livre, Post mortem, alignant 111 paragraphes doux-amers en hommage à la femme à qui il reprochait de l’avoir mis au monde. Je me réjouis aujourd’hui de ce que l'ami Romain Delpeuch, que j’encourageais dans cette entreprise, ait traduit l’ouvrage en anglais, langue dans laquelle peu de pages et aucun livre entier de l’auteur n’étaient lisibles jusqu’à présent. Cette version anglaise paraît d’abord en feuilleton sur le site de la maison d’édition américaine Terror House. La première livraison comprend les trente premiers paragraphes.
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