Tentative ratée d’aimer un Balzac, dernièrement. Il me semble que j’avais lu un de ses romans dans ma jeunesse, en tout cas j’avais essayé, Eugénie Goriot ? Le père Grandet ? Je n’en ai qu’un vague souvenir. Toujours est-il que l’autre jour j’étais bien aise de trouver dans une boite à livres une jolie petite édition vintage de La maison du Chat qui pelote et j’ai commencé à lire plein d’entrain mais hélas, après quinze pages d’exactitude sociologique et d’ennui mortel, j’ai dû abandonner.
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