Que voilà un beau vers solitaire à douze pattes. Un peu trop seul sans doute et je me permets de l’accompagner de deux iCuls (2.0) octosyllabiques : mettre le passé sous la chape rien n’en réchappe tout s’échappe
et pour bien parler du futur il faut être pur et c’est dur
Que voilà un beau vers solitaire à douze pattes.
RépondreSupprimerUn peu trop seul sans doute et je me permets de l’accompagner de deux iCuls (2.0) octosyllabiques :
mettre le passé sous la chape
rien n’en réchappe
tout s’échappe
et pour bien parler du futur
il faut être pur
et c’est dur
«Aux confins du dire,
RépondreSupprimertu te laisses conter :
Jactance d'une pie,
par-delà les haies.»