mardi 8 mars 2022

étudiantes

    Le bulletin institutionnel, que je reçois encore, m’apprend qu’il y a 67 % d’étudiantes à l’université Bordeaux-Montaigne en 2021-2022 et que cette proportion «est restée relativement stable ces dix dernières années». Je suppose que si c’était 67 % d’étudiants, les féministes chouineraient qu’elles sont opprimées par le vilain patriarcat. Mais là, évidemment, no problemo.

5 commentaires:

  1. Pas de problème ? Si l'on sait à quoi mènent ces études,il y en a un (et un gros).

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  2. Elles se débrouillent pas mal. La plupart des profs sont aussi des femmes.

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  3. Et les instits et les infirmières, les libraires, bientôt les "éditrices"… toutes les professions où elles sont majoritaires ou en passe de le devenir deviennent mineures… pas cons les mecs !

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  4. Les mecs sont pas cons, mais les femmes sont connes. C'est une explication...

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  5. " On est toujours un con pour sa femme. Ou c'est une conne." G.Perros
    (La connerie est devenue un objet d'étude philosophique. Qu'est ce qui favorise l'apparition de la connerie ? La connerie est elle partout ? Maxime Rovere élabore une éthique face à la connerie.)
    → https://www.franceinter.fr/emissions/l-heure-philo/l-heure-philo-du-vendredi-18-mars-2022

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