jeudi 4 juillet 2024

loriot

Il est un peu râlant de travailler quasi chaque jour une paire d’heures dans des bois où l’on entend sans cesse le chant des loriots, bref et sobre, deux trois notes flûtées qui résonnent dans le silence des arbres, et de ne jamais voir la jolie volaille, qui reste planquée dans les cimes, mais j’ai fini par en apercevoir un l’autre jour, alors que je zonais en lisière, l’un d’eux est sorti du bois comme une flèche pour gagner un autre massif en volant droit au-dessus des champs. Ce fut bref, mais enfin.

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