Les Máximas inéditas de Tia Zulmira (Editora Codecri, Rio de Janeiro, 1976) sont une oeuvre du journaliste et humoriste brésilien Sérgio Porto (1923-1968) parue posthumément sous son pseudonyme Stanislaw Ponte Preta. J’ai lu en entier ce mince volume sans y trouver une seule maxime à mon goût. On y remarque au mieux quelques définitions métaphoriques à la Gómez de la Serna, ainsi (je traduis) «Le colibri est l’hélicoptère de Dieu» (p 55) ou «Le pharmacien est le sergent de la médecine» (p 73). Le reste est ricanement soixante-huitard (genre «Le policier est toujours suspect», p 48) sans grand intérêt.
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