dimanche 23 novembre 2025

Miller

    Dans un moment d’entrain, après avoir lu les Quiet days in Clichy de Henry Miller, j’ai voulu examiner les deux traductions françaises, celle de Gérald Robitaille (Losfeld, 1967) et celle de Brice Matthieussent (Bourgois, 1991), puisque la fac, où j’étais de passage, en disposait. Une fois rentré dans ma brousse, je vois bien que ces deux petits livres ne m’intéressent pas, je les feuillette à peine. Je remarque chez Brice un passé simple étrange (Je consultai l’annuaire du téléphone et découvrai plusieurs hôtels…) dans Mara-Marignan, le texte faisant suite aux Jours tranquilles, page 109. J’en resterai là, mes autres emprunts seront plus utiles.

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