Les grandes horreurs politiques du vingtième siècle, en trois toponymes : Auschwitz, Hiroshima, la Kolyma. Auschwitz rafle la mise des retombées mémorielles, bien que la Kolyma ait massacré plus amplement et plus longuement. Hiroshima n’a eu qu’une carrière-éclair, mais avec un brio technique incomparable : ses 100.000 morts à la seconde donnent aux concurrents l’air de bricoleurs.
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